
Site officiel de l'Académie du Gaullisme
Fondée par Jacques DAUER
La lettre du 18 juin N°258 juin 2023

par Jacques Myard,
La bataille de France de mai-juin 1940 fut une très grande bataille, une bataille formidable où 60 000 soldats français périrent au champ d’honneur, bataille perdue par l’incurie de l’Etat major français enfermé dans ses convictions stratégiques de 14-18, alors que les généraux allemands avaient compris les mutations stupéfiantes des blindés, tout comme un jeune colonel français Charles de Gaulle l’avait lui aussi compris, ...Lire la suite

le regard vers l’éternité
par Christine Alfarge,
Le 18 juin 1940, c'est joué le destin de la France.
La célébration de l'Appel du 18 juin 1940 est surtout un hommage à la résistance française rassemblée autour du Général de Gaulle à Londres, puis en Afrique du Nord, de tous ceux qui ont payé le prix de notre liberté dans l'action et le sacrifice pour que notre histoire française se perpétue à travers le temps. Pour les générations qui vont suivre, c'est l'exemple de la volonté et de l'espérance gravée pour toujours dans les esprits....Lire la suite

par Paul Kloboukoff,
À la question, « Qu’est-ce que la laïcité ? », revenue d’actualité… en grande partie par les soins du gouvernement (avec son Comité interministériel de la laïcité), celui-ci n’apporte pas vraiment une réponse claire et précise sur son site « de référence sur le principe de laïcité » (1). Il en énumère, non sans redondances, des vertus (présumées ou attendues), à commencer par les garanties [PAR LA REPUBLIQUE] de : - la liberté de conscience,...Lire la suite

de l’affrontement de Gaulle-Giraud
Par Georges-Henri
SOUTOU,
Le débarquement anglo-américain en Algérie et au Maroc dans la nuit du 7 au 8 novembre 1942 (Opération Torch) marqua un tournant dans la Seconde Guerre mondiale. Vichy perdait le contrôle sur l’Afrique du Nord et l’Afrique occidentale, mais les autorités en place tentèrent de rester « fidèles au Maréchal » et, quand ce ne fut plus possible, après l’occupation de la Zone non occupée en métropole, elles tentèrent cependant ....Lire la suite
Jean Moulin
A l'occasion des 80 ans de la création du Conseil national de la Résistance (CNR)
le Musée de la Résistance et de la Déportation
A l’honneur dans une grande exposition
Espace Aden, 15 Rue du Travail, 07400 Le Teil
Situé à Le Teil en Ardèche, le Musée de la Résistance et de la Déportation propose à ses visiteurs de découvrir l'histoire de la résistance et de la déportation et notamment les spécificités de la région ardéchoise sur ces thématiques.
Avec Jean Moulin
C’est en effet au domicile parisien de ce haut fonctionnaire sarthois que le 27 mai 1943, au 43, rue du Four, Jean Moulin, délégué par le général de Gaulle, chef de la France Libre réunit autour de lui, clandestinement les représentants des principaux partis politiques et syndicats. Jean Moulin, Robert Chambeiron, Pierre Villon, Claude Bourdet, Georges Bidault, Louis Saillant, au total, ce sont 19 personnes réunies cet après-midi-là qui seront à l’origine du Conseil national de la résistance qui va coordonner les mouvements de la résistance intérieure et établir un programme après la Libération.

À l’occasion des 80 ans du Chant des partisans. L’ hymne de la Résistance française
Joseph Kessel - Maurice Druon : retour au pays des grands hommes. C'est encore le temps des héros, des aventuriers, des bâtisseurs. La vie ne leur fait pas peur. Ils la défient, ils la dévorent. Ils la veulent à la mesure de leurs rêves enflammés. L'un est l'oncle, l'autre le neveu. Ensemble, en 1943, ils ont signé les paroles de l'hymne de la Résistance, Le Chant des partisans. Leurs liens familiaux, d'abord tenus secrets, cimentent une relation très forte, marquée par la tendresse et la fidélité. Mais aussi par la même passion.

Livre
Les dernières réformes du général de
Gaulle (1968-1969)
Auteur
Étienne Le
Brun est cadre supérieur de la fonction publique, diplômé de l’Institut
d’Études Politiques de Strasbourg (promotion Joséphine Baker, 2016).
Résumé
Après avoir réussi à tenir la dragée haute face
aux événements de mai 1968 et remplacé Georges Pompidou par Maurice Couve de
Murville aux fonctions de Premier ministre deux mois plus tard, Charles de
Gaulle imposa au gouvernement un programme de réforme des structures de la
société française : la participation. Sénat, régions, communes, entreprises et
universités étaient concernés par cette transformation, dont certaines
orientations étaient avant-gardistes pour l’époque : encouragement de la
participation des femmes à la vie publique, limitation du nombre de mandats à
une fonction, généralisation de l’intercommunalité...
Cet ouvrage présente la préparation et le contenu
de chacune de ces réformes, la plupart inachevées à cause de la démission du
Général de ses fonctions de président de la République le 28 avril 1969.
Une importance particulière est donnée aux
origines, au cheminement depuis 1958 de ces évolutions et aux instructions
données par Charles de Gaulle à ses ministres.
Au fil des pages, se dessinent les conceptions
politiques de ce dernier au soir de sa présidence et une définition du
gaullisme.
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