n°251 - Académie du gaullisme

Académie du Gaullisme
Président Jacques Myard
Secrétaire générale Christine ALFARGE
Président-fondateur Jacques DAUER
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La lettre du 18 juin N°249 sep 2022

LE RANG : Politique étrangère
                               du général de Gaulle   
par Jacques Myard,
Le 18 Octobre dernier, à la Fondation Charles de Gaulle, j’ai assisté à une conférence intitulée « Usages de l’héritage du général de Gaulle en politique étrangère ».Les intervenants ont tous souligné l’apport structurel et incontournable du général de Gaulle pour la politique étrangère de la France ; cet apport demeure vivant et constitue toujours aujourd’hui le cadre et le fondement de l’action de la France sur la scène internationale, du moins en apparence... Lire la suite
« Et si le gaullisme venait
                                de Clemenceau ? »
par Christine Alfarge,                 
À l’occasion du 104èmeanniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918 dont la cérémonie officielle fut instaurée par le général De Gaulle en 1944, c’est notre devoir de transmettre inlassablement le récit  national français à partir de la Grande Guerre, revenir sur cette tragédie et son cortège de souffrances humaines réduisant les hommes à de la chair à canon sans comprendre ni savoir...Lire la suite
         
  

Participation, participation…
                        et encore participation
par Paul Kloboukoff,
La participation a été une « idée centrale de la pensée gaullienne ». Dès 1941, De Gaulle a voulu ouvrir une « troisième voie » entre le capitalisme et le communisme en associant le capital et le travail dans les entreprises. Soutenue du bout des lèvres par la « famille » se réclamant du  Général, elle s’est imposée comme une évidence au fil des décennies. Aujourd’hui, avec l’Allemagne ..Lire la suite
Guerre en Ukraine :
                                  « La question est de savoir
                «quand les Etats-Unis décideront la fin de la partie »
                              
Henri Guaino,
Français et Occidentaux en général, nous nous étions, depuis plusieurs décennies, enfermés dans une sorte d’idéologie molle: celle de la fin de lHistoire, dune disparition progressive de la guerre, réduite à des conflits locaux, et éloignés de nos territoires. La guerre n’a bien sûr jamais disparu, simplement nous ne voulions pas la voir: son usage est sans doute consubstantiel à la condition humaine... Lire la suite
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Jean-Christophe Notin,
Dans le cadre du centenaire de la fin de la première guerre mondiale, à (re)découvrir un livre de prestige écrit par Jean-Christophe Notin sur la biographie de référence du maréchal Foch. Avec son souci habituel de la documentation, l'auteur a entrepris de reprendre l'une après l'autre chacune des étapes de la carrière du maréchal en tentant de démêler le mythe de la réalité. Ce long et passionnant travail de tri lui permet de dégager un portrait beaucoup plus balancé. C'est ainsi que les enseignements de Foch à l'Ecole de Guerre apparaissent comme avoir programmé la défaite de 1914 plus que prévu la victoire de 1918. Sa conduite de la bataille, notamment dans les trois premières années, est émaillée de désobéissances, d'imprudences et d'aveuglements. Le limogeage qui s'ensuivit prend alors une autre résonance, tout comme son retour en grâce et sa nomination au commandement suprême en 1918. Isoler ses erreurs permet de mettre en relief la formidable contribution de Foch qui pouvait être hautain, borné, confus ou fédérateur, clairvoyant et inspirant. A lui seul, il a semblé porté quatre ans durant l'espoir inextinguible de la victoire. Jean-Christophe Notin analyse de manière inédite et approfondie, l'influence exercée par Foch, pendant, mais aussi après la conférence de la paix où son obstination menaça de couper la France du reste de ses alliées.
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