N° 234 - Académie du gaullisme

Académie du Gaullisme
Président Jacques Myard
Secrétaire générale Christine ALFARGE
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La lettre du 18 juin N°234 Février 2021

par Jacques MYARD        
         
Le principe de réalité nous oblige à regarder la réalité en face et sans faux-fuyants : la France est aujourd'hui une cocotte-minute chauffée à grand feu, soupape bloquée.Le risque d'explosion est au rouge et imminent. Cette situation explosive est la combinaison de multiples facteurs :- En premier lieu, les incertitudes créées par la covid provoquent de multiples interrogations ; les Français dépriment, nos jeunes concitoyens prennent conscience que leurs plus belles années risquent d'être perdues, leur avenir professionnel.Lire la suite
         
par Christine Alfarge,
Un titre évocateur qui reflète l’image du général de Gaulle relevant seul le plus grand défi que la France ait connu dans son histoire, juin 1940. Nul doute que De Gaulle et Churchill se sont bien trouvés et compris parce qu’ils étaient à la hauteur l’un de l’autre. Mais gagner la guerre ne suffirait pas, la France devrait redevenir une grande puissance en retrouvant le chemin de l’effort, 1958 le symbolisera.Le général de Gaulle écrira dans ses Mémoires de guerre, « La paix trouve notre économie privée d’une grande Lire la suite


ELECTRICITE de FRANCE                      
par Henri Fouquereau,
         
Officiellement pour respecter deux articles (85/86) du Traité de Rome qui évoqueraient la concurrence libre et non faussée, la Commission de Bruxelles qui déjà, nous impose déjà de vendre moins cher que le prix de sa production, notre électricité aux petits concurrents D’EDF et de leur racheter à coûts plus élevés, veut faire passer l'entreprise nationale française à la découpe. Il s'agit de séparer le bon grain de l'ivraie : la partie déficitaire resterait propriété de l'Etat, tandis que la partie rentable serait vendue au secteur privé, Lire la suite

par Paul Kloboukoff,
En hiver comme en été « la République » et ses « valeurs », Liberté, Egalité, Fraternité, fleurissent à tout bout de champ dans la bouche de nos politiciens. Ainsi, dans les deux premières pages du discours du Président de la République d’octobre 2020 sur le thème de la lutte contre les séparatismes, le mot « République » est prononcé 17 fois et le mot « républicain » l’est 3 fois. Comme la Marseillaise, ces mots « magiques » se réfèrent toujours à la Révolution de 1789 et à la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen dans l’imaginaire collectif. Ceci, Lire la suite

             La France a bradé son
       
par Marc Fosseux,
De renégociations en reculades avec la commission européenne, la France a bradé son industrie électrique à l’Allemagne. Elle pouvait se battre avec son industrie nucléaire, elle s’est placée sur le terrain des Energies Renouvelables (EnR) intermittentes et surtout celui de l’éolien dont elle ne possède aucun atout industriel.En faisant ce choix elle s’est mise en position de faiblesse devant des adversaires. Comme disait Churchill après Munich : « Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre »...Lire la suite
par Marc Dugois,
Nous sommes bassinés depuis quelque temps par la vénération du mot république à laquelle certains mettent même une majuscule, et par les valeurs républicaines où chacun met ce qu’il souhaite imposer aux autres de sa propre idéologie.Le monde politico-médiatico-universitaire sacralise ce mot alors qu’il n’est en soi qu’un espace à remplir ou un temps à occuper puisqu’il n’est qu’une traduction de « chose publique » en latin, res publica. C’est un nom que l’on peut donner au bien commun si l’on sait ce qu’il recouvre et si on .Lire la suite

Par André BELLON,
Référendum ? Sur quel sujet ? Plusieurs pistes avaient auparavant été diffusées grâce à la presse, mais elles semblaient soulever des débats internes et des contradictions difficiles. C’est alors que l’éclair de génie est apparu : seule la question du climat pouvait susciter un large soutien populaire. Elle reposait sur un problème assez largement reconnu comme un défi majeur. Elle séduisait la jeunesse. Elle inquiétait les plus âgés. Elle soulevait l’enthousiasme de la presse conforme et même les sceptiques n’osaient pas trop monter le bout de   leur nez. La bonne idée quoi !Lire la suite

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